Biographie

Mon histoire

Joan Alfaro, née à Cajamarca le 12 décembre 1982 dans la maison de Martha et Daniel, est la dernière d’une fratrie de trois enfants.

Joan a grandi sous la garde de sa mère qui l’a constamment préparé à affronter la vie et a pris goût à la musique grâce à son père qui lui a appris à jouer de différents instruments, de sorte que, dès son plus jeune âge, il a entretenu une relation étroite avec l’art.

Joan était une enfant qui aimait être seule, observant souvent les arbres de la forêt sur le chemin du retour ou regardant simplement les couchers de soleil bleus de Cajamarca. Il raconte sans fierté que sa timidité lui a joué quelques tours, quand il se sentait attiré par une fille, il s’éclipsait pour ne pas être découvert.

Le souvenir le plus latent de son enfance est le dessin, qui avait lieu le plus souvent à l’école, parfois sur le tableau noir ou dans tout espace libre que Joan trouvait, laissant son imagination s’envoler à travers ces premiers traits.

Au fil des ans, sa passion pour la peinture s’est renforcée, mais parfois son insécurité le poussait à abandonner et à penser qu’il n’était pas prêt à le faire, et encore moins à rêver de succès.

Il a fallu du temps à Joan pour croire que c’était la bonne voie, rien n’aurait pu prédire qu’un petit livre de Van Gogh que son père lui avait donné dans un moment d’incertitude marquerait sa vie.

Ses études à l’université et à l’école d’art se sont soldées par un échec, il n’a pas trouvé ce qu’il cherchait, mais il n’a jamais cessé de peindre et s’est réfugié dans l’art qui coulait de ses mains… il lui a fallu du temps pour se rendre compte que le chemin était tracé et qu’il était temps de se consacrer entièrement à la peinture, une décision qui l’a rendu immensément heureux.

Joan Alfaro, reconnaît Van Gogh (impressionniste) et Gustav Klimt (surréaliste) comme ses grands maîtres. De l’un il s’est concentré sur la couleur et de l’autre sur la délicatesse, pour créer plus tard son propre style qu’il appelle sa PROPRE IDENTITÉ.

Le surréalisme Andin

Mon art

Son attirance pour les couleurs vives, pour la nature, la liberté d’exprimer ses sentiments dans chaque portrait et l’authenticité de ses émotions mises dans chaque tableau font de lui le meilleur représentant du surréalisme andin.

Ces dernières années, Joan Alfaro s’est chargé de perfectionner sa technique afin de rendre ses traits plus délicats et plus sûrs, mais aussi de continuer à explorer son univers de fantaisie et de réalité